À coup sûr, il s'agit encore d'un coup monté. Bizarrement ma paye tombe aussi en fin de mois. Coïncidence ? Je ne crois pas ! Tout n’est que complot ! À cette allure, on va nous annoncer que la grêle a été créée par un lobbying de carrossiers. Je vous le dis, méfiez-vous, même les mojitos vous menthe !

Bon, résultat, depuis une semaine, mon compte en banque ressemble à la fin d'un défi de Koh Lanta : "Il vous reste 8 boules". "Super, merci Denis !" Il y a bien une solution pour que mon banquier retrouve le sourire...
M'exiler ! La Savoie, c'est bien la Savoie ? Cela m'éviterait en plus de recroiser mon voisin J.C., qui à chaque retour de vacances d'hiver me balance « Et c'est bon les filles, arrêtez avec vos histoires de Périnées. Les Périnées, j'y suis allé une fois faire du ski et c'est pas aussi bien qu'on le dit. » JPP de J.C. Et puis s’exiler en Savoie, c'est très pratique aussi pour réfréner ses envies de shopping car a priori le trajet Bourg Saint-Maurice - Chambéry, un samedi de février, c'est très rapide, une trentaine d'heures seulement...

Ce qu'on n’a pas dit à mon voisin J.C., c'est que la Savoie c’est dans les Alpes et non les « Périnées ». Rien à voir. En Savoie, on y retrouve entre autres Val Thorens, la station de sports d'hiver la plus haute d'Europe, reconnue pour la 8ème fois meilleure station de ski du monde par les World Ski Awards. Elle est née de l’imagination de Pierre Schnebelen à une époque où, pourtant, l’essor de telles stations faisait polémique. Comme disait Brel " Je crois qu'il faut se tromper, il faut être imprudent, il faut être fou même si c'est impossible, surtout si c'est impossible." Et il a bien eu raison le Pierrot d'être un peu fou...

Bref, vous l’aurez compris, l’exil en Savoie est un peu un prétexte pas vraiment dû au hasard. Je vous avoue qu’on aurait envie de le garder juste pour nous, ce spot incontournable accessible en toutes saisons. Mais chez IRIS Interactive, nous savons que le bonheur partagé ne se divise pas, il se multiplie ! Notre joie de monkeys est d'avoir apporté notre pierre à l’édifice dans la fascinante aventure de la station de Val Thorens, à travers la création d'une plateforme numérique percutante ! Régie publicitaire, ergonomie et expérience utilisateurs cousues main et, enfin, du contenu 4 saisons idéal pour un bon référencement ! Pompon sur la pomponette, le site passe du mode été au mode hiver sans virolet et aussi rapidement que J.C. avec son seyant pantalon-short.

PS : le conseil d’IRIS Interactive pour passer l'hiver tranquille : le noir ça affine, oui, mais c'est triste et tu n'es pas un fromage !

PPS : la théorie du complot n’est pas si improbable. Le 24 novembre, Black Friday et le 25 novembre, journée sans achat ! Coïncidence, je ne crois pas !

IRIS Interactive cherche à agrandir son équipe de 35 Monkeys et recrute un/e consultant/e webmarketing pour renforcer son équipe d'experts.
Si vous avez envie de vous lancer sur un nouveau challenge professionnel en 2024 et si vous disposez d’une expérience dans le tourisme institutionnel, cette offre est taillée pour vous !

Chez nous, vous allez kiffer :

• Intégrer une structure à taille humaine avec une culture d’entreprise fondée sur l’humain
• Travailler en équipe, dans une atmosphère conviviale et stimulante
• Évoluer dans un environnement où la prise d’initiatives est valorisée et le droit à l’erreur reconnu
• La flexibilité : en présentiel depuis notre camp de base au Puy-en-Velay ou en full remote, tout est envisageable !

Body Area Network

Le Body Area Network, ou BAN pour les initiés, désigne une technologie de réseau sans fil qui interconnecte sur, autour ou dans le corps, de minuscules dispositifs capables d’effectuer des mesures ou d’agir de façon active… Autrement dit ? C’est un ensemble de super-gadgets reliés au sein d’un seul et même réseau (votre corps) capables de transmettre des données et d’interagir entre eux.

Ces capteurs utilisent des courants de très faible puissance et peuvent, par exemple, alerter un service d’urgences hospitalières. Vous l’aurez compris, le Body Area Network trouve tout son sens dans les domaines de la santé, des premiers secours, du sport, du militaire, et d’une manière générale, dans les interactions homme-machine… même si nous sommes encore bien loin de Robocop (un peu flippant) ou d’Inspecteur Gadget (nettement moins flippant).

Pour consulter le mailing dans son navigateur cliquer ici.

Pour vous désinscrire, cliquer ici.